Au Café littéraire du Salon, on refait le monde autour de six façons de le désirer : vivre, lutter et s’affirmer; voir autrement; se relier au vivant; se mettre en mots; imaginer et rêver; faire société.
Imaginer et rêver
Dimanche 04 décembre – Avec la participation de l’autrice-illustratrice, Sandrine Bonini, des auteurs Fabien Clavel, Philippe Lechermeier et de l’auteur-illustrateur Mortis Ghost, Charlotte Binder, la classe de 5ème 2 du collège Sainte-Clothilde, Paris (75).
Le Live met sur le devant de la scène les formes spectaculaires de la littérature jeunesse – lectures musicales, dessinées, signées, showcases… pour ouvrir grand les yeux et les oreilles !
Le Ariol Show
Samedi 03 décembre – Avec la participation des auteurs-illustrateurs Marc Boutavant et Emmanuel Guibert.
Un débat autour de grands enjeux sociétaux qui traversent le monde du livre jeunesse et qui le nourrissent. 6 thèmes : écolo, le livre ?, le plurilinguisme, la démocratisation de la lecture, l’accessibilité, les questions de genres et d’identités, la parentalité.
Lire en famille, ça réchauffe !
Samedi 03 décembre – Avec la participation de Ramona Badescu, autrice, Alexie Lorca, adjointe au maire de Montreuil, chargée de la culture, Claudine Serre, médiatrice, éditrice, La Réunion des livres et Sylvie Vassallo, directrice du SLPJ.
Au Café littéraire du Salon, on refait le monde autour de six façons de le désirer : vivre, lutter et s’affirmer; voir autrement; se relier au vivant; se mettre en mots; imaginer et rêver; faire société.
Faire société
Samedi 03 décembre – Avec la participation de l’autrice Marguerite Abouet, et des auteurs Christopher Bouix, Caryl Férey, Guillaume Guéraud. Et le Club lecture du lycée Hector Berlioz, Vincennes (94) : Nour Bernard, Hadrien Coccoluto-Roussel, Mariama Fofana, Héloïse Maringe, Daphné Msika, Lucie Mustière, Macha Trioulliet, Baptiste Vieillevigne.
Un débat autour de grands enjeux sociétaux qui traversent le monde du livre jeunesse et qui le nourrissent. 6 thèmes : écolo, le livre ?, le plurilinguisme, la démocratisation de la lecture, l’accessibilité, les questions de genres et d’identités, la parentalité.
Rose, chou et autres genres…
Vendredi 02 décembre – Avec la participation de Cécile Deniard, présidente de la SOFIA, Laurence Faron, directrice des éditions Talents hauts, Carine Rolland, adjointe à la Mairie de Paris en charge de la Culture et Sylvie Vassallo, directrice du SLPJ.
Au Café littéraire du Salon, on refait le monde autour de six façons de le désirer : vivre, lutter et s’affirmer; voir autrement; se relier au vivant; se mettre en mots; imaginer et rêver; faire société.
Désirs de mondes : se relier au vivant
Vendredi 02 décembre – Avec la participation des autrices Caroline Lamarche, Stéphanie Leclerc et des auteurs-illustrateurs Simon Bournel-Bosson, Thomas Lavachery. Et la classe de 4èmeA du collège Saint-Michel, Guéméné-Penfao (44).
La rénovation du centre de tri de Romainville / Bobigny vient de franchir « une étape décisive ». Le projet veut favoriser le transport fluvial des déchets.
Plastique, papier, carton, aluminium… Il en voit passer 55 000 tonnes chaque année. C’est par ici que transitent les emballages d’1,3 millions d’habitants de Paris et de 15 communes du nord-est francilien.
Crédit : Syctom
Pour le Syctom – l’agence métropolitaine des déchets ménagers – le centre de tri de Romainville / Bobigny est donc un équipement crucial. Avec ses 200 machines ultra-modernes, il permet de séparer les déchets par types de matériaux. 80% d’entre eux sont ensuite acheminés vers les filières de recyclage.
Une véritable plaque-tournante qui génère localement des nuisances et de la pollution. Car, à l’heure actuelle, la réception et le transfert des déchets se fait par la route. Pour mettre au fin au balai des camions, une limitation de la circulation est envisagée – notamment sur l’avenue Gaston Roussel.
Crédit : Google Maps
Et surtout, l’idée est de se tourner vers le Canal de l’Ourcq. La création d’un port fluvial doit permettre le transport d’une majorité de produits sortants, soit 2 à 3 barges quotidiennement, 5 jours sur 7.
Crédit : Groupe-6
Cette nouvelle infrastructure s’inscrit dans la reconstruction du centre de Romainville / Bobigny. L’objectif est également d’augmenter et de diversifier (déchets alimentaires) la capacité de tri du site. Il sera également doté d’un pôle d’excellence de l’économie circulaire.
Un projet en gestation depuis plusieurs années, qui vient d’être définitivement validé. Les différents acteurs concernés (villes de Paris, Romainville et Bobigny ainsi que l’EPT Est Ensemble) ont acté un accord ce mardi 22 novembre 2022. « Une étape décisive » selon le Syctom. « Je suis heureux que ce projet ambitieux au service du territoire et de ses habitants puisse enfin démarrer » se félicite son président Corentin Duprey. Il salue « le travail de coopération mené depuis de longs mois. »
Le démarrage des travaux est prévu pour début 2025 pour une mise en service à partir de 2026-2027.
Pour découvrir les dessous de la création de la littérature jeunesse et celles et ceux qui l’a font, la télé du salon ouvre son antenne pour la troisième année, avec 3 heures d’émissions quotidiennes réalisées en direct du salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis, à Montreuil.
Au programme, cafés littéraires, débats thématiques, performances culturelles, reportages, films d’animation…
A retrouver tous les jours de 17h à 20h du 30 novembre au 5 décembre2022 👉 Le Direct
Sur la chaine M Paris, canal 34 de la TNT en Ile-de-France , box canal 30
« Ca fait des années que je ne suis pas allée voir un gynécologue. Je vais enfin pouvoir avoir un suivi gynécologique ! ». Emilie est « ravie ». Elle se rend à sa consultation après avoir obtenu un rendez-vous sur Doctolib. En plein désert médical, un nouveau centre de santé a ouvert ses portes à Montreuil, à proximité de la Croix-de-Chavaux. Avec ses 3 500m2 et ses 50 médecins, ce serait même la plus grande maison de santé de France.
« On a des généralistes, des pédiatres, des gynécologues, des ophtalmos, des radiologues… » détaille Baptiste Gérard, co-fondateur de Cap Horn Santé. Il ajoute : « on a un service de soins non programmés, comme des urgences, qui est ouvert de 8h à 20h du lundi au samedi. On peut traiter un bon 70 à 80% des pathologies du quotidien. »
Quelque part entre le médecin de ville et l’hôpital, le lieu s’est doté de matériel médical dernier cri tout en soignant sa déco. « Les patients sont très heureux. Certains restent assis en salle d’attente, ils ne veulent plus partir » s’amusent même Johanna Marciano, chirurgien-dentiste.
Avec le soutien financier de l’Agence Régionale de Santé, ce sont au total 18 millions € qui ont été investis dans cette structure privée. Ce qui ne signifie pas automatiquement des prix plus élevés. « Pour les médecins généralistes et les soins sans rendez-vous, on est en secteur 1. Il n’y pas de dépassement d’honoraires » explique Baptiste Gérard. En ce qui concerne les spécialistes, « ils s’engagent à des dépassements raisonnés. Ce qui permet aux patients d’avoir un meilleur remboursement de la part de la sécurité sociale et de leur mutuelle. Il n’y a quasiment aucun reste à charge » rassure le médecin.
A terme, Cap Horn Santé – installé au 55 rue Gaston Lauriau – s’attend à prendre en charge entre 1500 et 2000 patients par jour.
C’est l’endroit idéal pour recharger vos batteries ! Quand on pousse les portes de la BOM, on est accueilli par une drôle de machine : la RegenBox. Elle donne une seconde vie aux piles non rechargeables. « La plupart des piles jetables ne sont en fait pas en bout de vie : c’’est qu’on a juste pas les moyens de les tester. Du coup, il y a des piles qui sont encore bonnes » explique Tatjana Uskokovic, la coordinatrice de la BOM. « Les personnes qui viennent ici peuvent tester gratuitement leurs piles puis on les met à régénérer. »
Régénérer pour moins jeter et surtout pour moins consommer. Cette logique environnementale, fait l’ADN de la bibliothèque d’objets de Montreuil. On y trouve plus de 400 objets – des dons pour une grande majorité – que l’on peut louer. L’exemple-type, c’est la perceuse, « l’objet le plus emprunté chez nous » précise Tatjana Uskokovic. «C’est un objet que l’on utilise en moyenne 12 minutes au total dans sa vie. Plutôt que d’en acheter une entre 60 et 70€, on va la louer 5€ ».
5€ par semaine, c’est d’ailleurs le prix pour la plupart des objets à la BOM.
Le lieu propose également des ateliers d’auto-réparation. Ils ont lieu deux fois par semaine sur inscription. Ou comment ressusciter cette imprimante qui ne fonctionne plus…. « C’est bien de l’auto-réparation, il y a donc une dimension pédagogique » souligne la coordinatrice. « Les personnes sont aidées. » On répare donc soi-même, mais pas seul. Entre 4 et 5 objets sur 6 parviennent ainsi à être sauvés.
La BOM – située au 2 rue Girard, près de la Croix-de-Chavaux – a ouvert ses portes en avril 2022. Elle compte aujourd’hui plus de 600 adhérents.